Yann Faucher, 14 ans, a la mort devant lui ! Fauché par un 35 tonnes, mort et enterré et pourtant toujours conscient, Yann croupit au fond de son cercueil en essayant de comprendre pourquoi il ne sombre pas dans le repos éternel... Jusqu'au jour où, par miracle, il parvient enfin à sortir de sa tombe ! Son premier réflexe ? Retrouver sa famille qu'il a imaginé continuer à vivre paisiblement. Sauf que la réalité est tout autre : ses parents, bouleversés par la mort de leur fils, sont au bord du divorce ; son petit frère s'est replié dans le silence et sa soeur aînée, autrefois si épanouie, est devenue pleine de colère et de rancoeur.
Yann doit à tout prix les aider à retrouver le goût de vivre ! Mais ce serait sans doute plus facile s'il n'était pas un zombie dont la simple vue soulève des haut-le-coeur et des hurlements de terreur...
« Devant mon refus d'obtempérer, le policier décide de sévir.
- Vos papiers d'identité, s'il vous plaît.
- Euh... Je ne les ai pas.
- Où sont-ils ?
- Dans mon portefeuille... qui se trouve dans mon pantalon.
- Quel pantalon ?
- Celui que je porte.
« Aux Îles-de-la-Madeleine, la mer est partout. En me baladant sur la plage, j'ai eu envie de me marrer. Alors que je contemplais l'horizon, le ciel a fait tomber sur ma tête six idées m'ont fait sourire. » « Ces idées, je les ai nourries en trois coups
C'est l'histoire d'un rire. Mais pas n'importe lequel. Un rire si fou et si déchaîné qu'il menace de faire péter les côtes et la rate de tous ceux et celles qui se trouveront sur son chemin. Un rire catastrophe capable de produire des secousses comiques de très grande magnitude.
Non, vraiment, ce n'est pas drôle de rire autant!
Une grenade sous forme de roman, qui éclate de rire au détour de chaque page.
Attention!
Le rire est un virus contagieux.
La lecture de ce roman comporte des risques de contamination.
« Elle passait le plus clair de son temps à errer dans les rues et à visiter les habitations de ce hameau chaleureux, épiant avec intérêt la population locale. » « Claire Côté n'attirait le regard de personne. Cette adolescente vivait en catimini, en s'excusant presque de respirer. Elle se sentait comme un bibelot. Un bibelot qui faisait partie intégrante du décor et qu'on avait fini par ne plus voir. Elle avait souvent l'impression de ne pas exister aux yeux des autres. Elle en vint même à se demander si elle n'était pas transparente. Un jour, cela se produisit. À force de passer inaperçue, la jeune fille disparut. »